Lutter contre la menace terroriste ne doit pas justifier le démantèlement de l'architecture de gouvernance continentale.
Les gouvernements du Bassin du lac Tchad doivent démanteler les systèmes de collecte et de traitement d'informations des terroristes.
La sécurité du pays est confrontée à des défis de longue date qui compromettent sa capacité à lutter contre la violence et l'insécurité.
Les stratégies fondées exclusivement sur les opérations militaires peuvent aliéner les populations qu'elles visent à protéger.
De meilleures infrastructures de rétention d’eau aideraient les communautés à relever divers défis de sécurité et de développement.
Les forces de sécurité du bassin du lac Tchad doivent maintenir leur vigilance sur les groupes terroristes ayant survécu à la perte de leurs chefs.
Les blocus du JNIM sont devenus une arme stratégique qui menace le commerce régional et l'armée malienne, et nuit aux civils.
Dans l'État de Borno, au Nigeria, une stratégie ancrée localement et plus humaine montre des résultats tangibles.
Il faut une approche globale qui allie la gestion des déchets biologiques et les renseignements communautaires pour contrecarrer la fabrication des EEI.
L’Alliance des forces démocratiques, alliée de l'État islamique, exploite les vides sécuritaires et tire profit des économies illicites.
Le Niger, le Burkina Faso — et l’Europe — doivent tirer des leçons de l’échec de Wagner.
Les forces de sécurité de la région ne peuvent plus se concentrer uniquement sur la faction EIAO de Boko Haram.
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