L’évolution militaire, la fragmentation politique et les ingérences extérieures pourraient provoquer l’escalade et une division du pays.
Le retrait prématuré des contingents de la SADC révèle de profonds problèmes politiques et de l’insuffisance des capacités militaires.
La réforme du secteur de la sécurité, malgré des débuts antérieurs aux deux coups d'État, peine à intégrer pleinement la société civile.
De grandes attentes entourent les nouveaux dirigeants pour renforcer l’action de l’UA en faveur de la paix et de la stabilité.
Le passé militariste de la région et la méfiance entre dirigeants entravent une coopération pourtant indispensable.
Le sommet de février sera clé pour l’élection de dirigeants aptes à relever les défis internes et externes du continent.
Alors que le M23 poursuit sa marche destructive, le sommet CAE-SADC doit tirer les leçons de l'échec des efforts de paix.
Le nouveau président doit non seulement mettre fin aux violences postélectorales, mais aussi inverser l'exclusion politique et économique.
La Russie semble accélérer l’implantation d’un centre militaire en Libye, au risque d’intensifier le conflit persistant dans le pays.
Le niveau croissant de pauvreté extrême en Afrique, aggravé par la COVID-19, alimente le feu des privations relatives.
Ce conflit alimente les marchés illicites de la région, les populations se tournant vers les réseaux de contrebande pour des produits de première nécessité.
L’accord de paix médié par João Lourenço peine à offrir des garanties face à la crise dans l’est de la RDC.
Plus +