Au cœur de la crise régionale, la RDC, présidente de la CIRGL, peut relancer une dynamique de sécurité collective.
Au Soudan, en RDC ou au Mozambique, les groupes armés visent les réfugiés et les déplacés pour s’imposer par la terreur.
Aucun effort de médiation n'a défini les mesures incitatives qui permettraient d’aboutir à la désescalade du conflit, et encore moins à la paix.
Les luttes de pouvoir entre le président Tshisekedi et l'ancien président Kabila risquent de compliquer les négociations déjà difficiles avec le M23.
Garantir une paix durable dans l'est de la République démocratique du Congo nécessite un équilibre entre les intérêts géopolitiques nationaux et régionaux.
En tant que garante de l’accord de paix, l’Union africaine doit prendre des mesures urgentes pour désamorcer les tensions politiques.
Les dynamiques dans l'est de la RDC et dans la capitale du pays mettront à l'épreuve les efforts de médiation du Qatar.
Le retrait prématuré des contingents de la SADC révèle de profonds problèmes politiques et de l’insuffisance des capacités militaires.
Le passé militariste de la région et la méfiance entre dirigeants entravent une coopération pourtant indispensable.
Alors que le M23 poursuit sa marche destructive, le sommet CAE-SADC doit tirer les leçons de l'échec des efforts de paix.
L’accord de paix médié par João Lourenço peine à offrir des garanties face à la crise dans l’est de la RDC.
Grâce à sa position géographique et à son expérience en médiation, la Tanzanie est bien placée pour coordonner les efforts de paix régionaux.
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