L’Afrique du Sud devra défendre les intérêts de l'Afrique et gérer un G20 dont l'un des membres les plus puissants se désengage.
Alors que le M23 poursuit sa marche destructive, le sommet CAE-SADC doit tirer les leçons de l'échec des efforts de paix.
Bien que Ramaphosa en minimise l’impact potentiel, l’Afrique du Sud et le continent sont en grand danger.
Le prochain G20 offre aux dirigeants l’occasion de traiter de transparence, de responsabilité et de contrôle humain de l’IA.
Il faudra plus que de simples améliorations infrastructurelles pour profiter de l’essor du transport maritime le long cette route.
Le sommet des BRICS ce mois pourrait révéler l’avenir du groupe, et un éventuel éloignement des trois démocraties fondatrices.
Si elles ne tiennent pas compte des complexités locales, les réformes anticorruption risquent de déclencher une instabilité politique.
La prise de décision par consensus pourrait conduire l’Afrique du Sud à des politiques plus centristes sur les défis mondiaux urgents.
Deux coalitions nationales possibles: ANC-DA-IFP ou ANC-MK, le KwaZulu-Natal étant l’agneau sacrificiel.
Sans accès aux données des médias sociaux, il est difficile de s'assurer que les électeurs disposent d'informations fiables.
Le nouveau gouvernement devra se concentrer sur l’unité, la croissance économique et le développement.
Longtemps redoutée, l’attaque israélienne de Rafah, dans le sud de Gaza, a mis Le Caire sur la sellette.
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