Dans l'État de Borno, au Nigeria, une stratégie ancrée localement et plus humaine montre des résultats tangibles.
Il faut une approche globale qui allie la gestion des déchets biologiques et les renseignements communautaires pour contrecarrer la fabrication des EEI.
Les forces de sécurité de la région ne peuvent plus se concentrer uniquement sur la faction EIAO de Boko Haram.
La cellule Shiroro du JAS assouplit son approche doctrinale pour rallier les bandits locaux.
Le recul de la piraterie redirige les groupes criminels vers les prises d’otages avec rançon en plein essor entre le Nigéria et le Gabon.
Les avant-postes éloignés et mal équipés sont des cibles faciles et un angle mort des initiatives régionales contre le terrorisme.
La quête de ressources de l'EIAO affaiblit la capacité des communautés du nord du Cameroun à faire face aux difficultés économiques.
L’incompréhension des causes des attaques meurtrières dans l'État de Benue ne permet pas de trouver des solutions durables.
Les deux pays doivent coopérer afin d’empêcher Boko Haram de profiter de la réouverture des frontières.
Le redoublement des attaques de l’EIAO par des drones armés marque un tournant dans la lutte antiterroriste dans la région.
Le Niger a suspendu sa participation à la Force multinationale mixte et le Tchad menace de se retirer.
Les factions de Boko Haram s’adaptent continuellement aux stratégies de lutte antiterroriste, celles-ci doivent donc être souples et systématiques.
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