Le rôle de l'Afrique dans l'élaboration du traité montre que le multilatéralisme peut favoriser une gouvernance mondiale équitable des océans.
Forts de leur expérience, les États du golfe de Guinée disposent des atouts nécessaires pour renforcer leur autonomie en matière de sécurité maritime.
Les questions maritimes font partie des préoccupations de l'Union africaine, mais les États membres doivent agir pour réaliser leurs ambitions.
Il est indispensable de reconstituer les stocks halieutiques autrefois abondants. Toutefois, l’interdiction n’impulsera pas une utilisation durable du lac.
Après avoir contribué à l'élaboration du traité, l'Afrique doit bénéficier de la récente dynamique qu’il a créée dans la gouvernance des océans.
L’exploitation minière unilatérale des fonds marins, comme l’envisage l’administration Trump, pourrait avoir de graves répercussions sur l’Afrique.
Malgré les pertes financières dues à la pêche illégale, seul un tiers des pays africains a signé cet accord historique de l’OMC.
Soutenir trois initiatives clés pourrait positionner le continent comme un acteur clé de la gouvernance mondiale des océans.
Il suffirait que l’Afrique s’implique dans trois initiatives pour peser sur la gouvernance mondiale des océans.
Le différend sur l’archipel des Chagos est un microcosme des tensions plus larges qui façonnent la géopolitique maritime mondiale.
Depuis près de quarante ans, des flottes étrangères, notamment chinoises, épuisent les ressources halieutiques autrefois durables.
Il faudra plus que de simples améliorations infrastructurelles pour profiter de l’essor du transport maritime le long cette route.
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