Rapport sur le Conseil de paix et de sécurité 77

Le rapport de la CFP se concentre sur le récent Sommet de l'UA et parle à Haile Menkerios, responsable du bureau de l'ONU à l'UA, dans un entretien exclusif.

Le Burundi, le Sud-Soudan et le terrorisme figuraient en bonne position de l’agenda lors la dernière réunion des chefs d'Etat et de gouvernement du CPS. En parallèle à ces questions urgentes, la réforme de l'ONU, la CPI et l'Agenda 2063 ont entraîné de longues discussions. Ce rapport du CPS examine ces questions et autres faits saillants du Sommet de l’UA qui s’est tenu au mois de janvier.

L'analyse de la situation porte sur la décision d’interrompre les plans d’envoi d’une force de maintien de la paix au Burundi. Certains analystes considèrent cependant qu'il est trop tôt pour déclarer mortes les forces de l’UA.

L'adhésion au CPS de l’UA commence-t-elle à suivre les mêmes voies que le CSNU ? Quatre poids lourds africains – le Nigeria, l’Afrique du Sud, l’Algérie et l'Egypte - ont été élus pour siéger au CPS après un vote du Conseil exécutif de l'UA.   

Dans une interview exclusive, Haile Menkerios, Chef du bureau des Nations Unies auprès de l’UA, explique qui selon lui est responsable du maintien de la paix en Afrique.

Partenaires de développement
Ce rapport est publié grâce au soutien de la Confédération suisse, du Grand duché de Luxembourg, le gouvernement de Nouvelle-Zélande et du Hanns Seidel Stiftung. L’ ISS souhaite également remercier pour leur appui les membres suivants de son Forum des partenaires: les gouvernements de l’Australie, du Canada, du Danemark, des États-Unis, de la Finlande, du Japon, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Suède.
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