Sortir des groupes extrémistes violents dans le bassin du lac Tchad

La gestion des anciens combattants et associés de Boko Haram pose des défis stratégiques et politiques complexes.

Dans la région particulièrement instable du bassin du lac Tchad, la gestion des anciens combattants et associés de Boko Haram pose des défis stratégiques et politiques complexes aux acteurs locaux, nationaux et régionaux. Afin de définir des approches efficaces en matière de réhabilitation, de réintégration et de réconciliation, il convient de comprendre les raisons qui poussent des individus à quitter les groupes extrémistes violents et les trajectoires qu’il sempruntent. Au-delà de la lutte contre l’extrémisme violent, ces analyses offrent des perspectives en matière de consolidation de la paix et de la stabilité à long terme.


À propos des auteurs

Fonteh Akum est le directeur exécutif de l'ISS.

Remadji Hoinathy est chercheur principal au sein du Programme du bassin du lac Tchad.

Malik Samuel est chercheur au sein du Programmedu bassin du lac Tchad.

Pour mener les recherches nécessaires à la rédaction de ce rapport, les auteurs ont été aidéspar Aïssa Ibrahim Moustapha, Evelyne Taryam, Teniola Tayo, Jeannine Ella Abatan, Adder Abel Gwoda, Regis Zambo, Oumar Abdelbanat et Bagana Mai Moussa.


Crédit photo : Dominique Catton/EU Flickr
Partenaires de développement
Cette recherche a reçu le soutien financier du gouvernement des Pays-Bas, du gouvernement du Danemark ainsi que de la représentation régionale de la Fondation Hanns Seidel pour l’Afrique de l’Ouest. L’ISS exprime sa gratitude à la direction et au personnel de l’opération Safe Corridor au Nigeria et à la Haute Autorité à la consolidation de la paix du Niger pour leur coopération.

L’ISS remercie également les membres suivants du Forum des partenaires de l’ISS pour leur soutien : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne et les gouvernements d’Australie, du Canada, du Danemark, des États-Unis, de l’Irlande, de la Norvège, des Pays-Bas,de la Suède.
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