2017-07-31
Lors du récent sommet de l’Union africaine, quelques pays se sont plaints du processus décisionnel des réformes de l’organisation.
Les dirigeants ont par ailleurs décidé que septembre serait un « mois d’amnistie » pour les individus détenant des armes illégales.
La nouvelle force conjointe pour le Sahel a vocation à intervenir là où les troupes de l’ONU et de l’opération Barkhane, menée par la France, ne sont pas jusqu’ici parvenues à progresser.
Le Liptako-Gourma, zone frontalière située aux confins du Niger, du Mali et du Burkina Faso, recevra une attention toute particulière du G5 Sahel.
Lori-Anne Théroux-Bénoni, experte au sein de l’équipe de l’ISS, explique que les jeunes du Sahel qui viennent grossir les rangs des groupes djihadistes ne le font pas que pour des considérations autres que financières ou religieuses.
Face à l’incertitude et aux compressions budgétaires, les partenariats mondiaux sont désormais cruciaux.