Le négoce mortifère de Boko Haram : une économie de la violence dans le bassin du lac Tchad

Comment ce groupe extrémiste violent a-t-il réussi à survivre dans la région, et ce depuis plus de dix ans ?

Perpétrant des violences meurtrières depuis plus d’une décennie, Boko Haram a survécu aux diverses interventions des pays du bassin du lac Tchad et de leurs partenaires. La longévité du groupe peut en partie s’expliquer par son accès continu à certaines ressources. Ce rapport explore les facteurs économiques qui renforcent la résilience de Boko Haram, y compris les principaux acteurs impliqués dans ce processus.

À propos de l’auteur

Malik Samuel est chercheur au sein du programme Bassin du lac Tchad, une initiative du Bureau régional de l’ISS pour l’Afrique de l’Ouest, le Sahel et le bassin du lac Tchad, situé à Dakar. L’auteur a bénéficié de l’appui des personnes suivantes pour effectuer les recherches nécessaires à la rédaction de ce rapport : Taiwo Hassan Adebayo, Celestine Dalanga, Lawan Ibrahim, Allah-Kauis Neneck, Remadji Hoinathy et Teniola Tayo.

Image : Andrew Caballero-Reynolds//Union européenne 2022

Partenaires de développement
Ce rapport est financé par le gouvernement des Pays-Bas. L’ISS tient également à remercier les membres de son Forum de partenariat pour leur soutien : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne, les fondations Open Society et les gouvernements du Danemark, de l’Irlande, des Pays-Bas, de la Norvège et de la Suède.
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