Liens entre extrémisme violent et activités illicites en Côte d’Ivoire

Cerner comment les extrémistes s’infiltrent dans l'économie locale du nord de la Côte d’Ivoire pour se financer, recruter et se ravitailler.

Parallèlement aux attaques menées dans le nord-est de la Côte d’Ivoire depuis 2020, les groupes extrémistes violents se sont infiltrés dans l’économie du bétail sur pied et l’orpaillage illégal afin de générer des ressources financières, de mobiliser des ressources humaines et de se procurer des moyens de subsistance. Les réponses à la menace doivent intégrer cette dimension et s’atteler à priver ces groupes de moyens indispensables à leur fonctionnement.


À propos de l'auteur

Ce rapport a été rédigé par William Assanvo, chercheur principal au bureau régional de l’Institut d’études de sécurité (ISS) pour l’Afrique de l’Ouest, le Sahel et le bassin du lac Tchad. Il a été réalisé sous la supervision de Lori-Anne Théroux-Bénoni, directrice régionale de l'ISS Dakar. Ont également contribué à ce travail : Jeannine Ella Abatan, Michaël Matongbada, Fofana Moussa et Ouizan Bi Koloko Wilfried.

Image : © Amelia Broodryk/ISS

Partenaires de développement
Ce rapport a été financé grâce au soutien des gouvernements des Pays-Bas et du Danemark, ainsi que des fondations Hanns Seidel et Robert Bosch. L’ISS tient à remercier les membres du Forum de partenariat de l’Institut, notamment la Fondation Hanns Seidel, l’Open Society Foundations, l’Union européenne, ainsi que les gouvernements du Danemark, de l’Irlande, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Suède.
Contenu lié