Justice réparatrice : une réflexion a posteriori sur la responsabilisation en matière de criminalité internationale

Ce rapport expose et analyse différentes méthodes de réparation pour les victimes de la criminalité internationale.

Les États africains sont en retard en matière de réparation aux victimes de la criminalité internationale. La réponse des institutions internationales et des États face aux préoccupations des victimes s’est heurtée à de graves difficultés. Dans les États africains sortant d’un conflit, les réparations proposées à des millions de victimes ont relevé, au mieux, d’une réflexion a posteriori dans les procédures de responsabilité pénale et, au pire, ont constitué un moyen utilisé à des fins politiques, le plus souvent en période électorale. Le présent rapport expose et analyse différentes méthodes de réparation pour les victimes de la criminalité internationale.


À propos des auteurs
 

Allan Ngari est chercheur principal à l’Institut d’études de sécurité. Il travaille sur la justice pénale internationale et est avocat auprès de la Haute Cour du Kenya.

Steven Kayuni, consultant en droit chez Ethan & Bill Consultants, publie des articles scientifiques sur la justice pénale internationale depuis plus de 13 ans. Il est avocat auprès la Haute Cour et la Cour suprême d’appel du Malawi.

Crédit photo : UN Photo / Olivier Chassott

Partenaires de développement
Ce rapport a été financé par TrustAfrica. L’ISS remercie également pour leur soutien les membres du Forum des partenaires de l’ISS : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne et les gouvernements du Canada, du Danemark, de la Finlande, de l’Irlande, des Pays-Bas, de la Norvège, de la Suède et des États-Unis.
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