Guinée-Bissau : Redéfinir les priorités pour une stabilisation à long terme

Des réformes constitutionnelles et électorales sont nécessaires pour prévenir une nouvelle crise après les législatives de mars 2019.

Les élections législatives, attendues le 10 mars 2019, constituent une étape importante vers la stabilité politique. Cependant, des réformes institutionnelles sont incontournables pour que celle-ci soit durable. Il est nécessaire d’initier un dialogue entre les parties prenantes pour définir les priorités et créer les conditions favorables à leur mise en œuvre. Par ailleurs, la Guinée-Bissau a besoin de l’accompagnement de ses partenaires régionaux et internationaux qui doivent inscrire leurs actions dans une vision à long terme.


À propos des auteurs

Paulin Maurice Toupane est chercheur au bureau de Dakar de l’Institut d’études de sécurité (ISS). Maurice est titulaire d’un master en science politique et relations internationales de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, au Sénégal.

Aïssatou Kanté est chercheure junior au bureau de Dakar. Elle est titulaire d’un master en études stratégiques de l’université Sorbonne-Paris Cité, Paris, France.

Adja Khadidiatou Faye est chercheure boursière au bureau de Dakar de l’ISS. Elle est titulaire d’une maîtrise en droit et science politique de l’université de Reims, en France, et d’un mastère spécialisé en fonction publique internationale de l’École des hautes études internationales et politiques (HEIP) de Paris.

Partenaires de développement
Ce rapport est publié grâce au soutien du gouvernement du Danemark. L’ISS remercie également les membres de son Forum de partenariat pour leur soutien : la fondation Hanns Seidel, l’Union européenne et les gouvernements de l’Australie, du Canada, du Danemark, de la Finlande, de l’Irlande, des Pays-Bas, de la Norvège, de la Suède et des États-Unis.
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