La renaissance : les trajectoires possibles de développement de la Tunisie à l'horizon 2040

Le pays se trouve dans une situation difficile qui exige des réformes économiques et sociopolitiques radicales mais nécessaires.

Ce rapport analyse la trajectoire de développement actuelle la plus probable après la pandémie de COVID-19 et l’impact de trois scénarios alternatifs. Le scénario « Objectif croissance » dresse un avenir où la Tunisie recherche la croissance économique à tout prix. Dans le scénario « Progression par bonds », la Tunisie tire parti de la technologie pour adopter rapidement des systèmes modernes de développement. Enfin, le scénario « Durabilité et égalité » permet à la Tunisie d’améliorer le développement économique et humain sans compromettre l’aptitude des générations futures à répondre à leurs besoins.


À propos des auteurs

Stellah Kwasi est chercheuse dans le programme « Futurs africains et Innovation » au bureau de Pretoria de l’ISS. Avant de rejoindre l’ISS, elle a occupé le poste d’adjointe de recherche au Centre Frederick S Pardee for International Futures à l’Université de Denver, au Colorado.

Jakkie Cilliers, a fondé l’ISS et préside son conseil d’administration. Il dirige actuellement le programme « Futurs africains et Innovation », au bureau de Pretoria de l’Institut. Il a démissionné de son poste de directeur général en 2015.

Lily Welborn est chercheuse consultante à l’ISS. Elle a auparavant occupé la fonction de chercheuse dans le programme « Futurs africains et Innovation » au bureau de Pretoria de l’ISS et a également été consultante chercheuse au Centre Frederick S Pardee for International Futures à l’Université de Denver. Elle est spécialisée dans la criminalité transnationale et le changement climatique.


Crédit photo : Olga Ozik/Pixabay

Partenaires de développement
Ce rapport a été financé par le Gouvernement des Pays-Bas, la Fondation Hanns Seidel et l’Agence suédoise de coopération internationale au développement. L’ISS tient également à remercier les membres suivants de son Forum de partenariat pour leur soutien : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne, Open Society Foundations et les Gouvernements du Canada, du Danemark, des États-Unis, de la Finlande, de l’Irlande, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Suède.
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