Réparer le mal fait aux victimes : leçons apprises des cadres de justice réparatrice

Cette note d’analyse tente d’analyser différentes méthodes de réparation en faveur des victimes de crimes internationaux.

Les réparations pour les millions de victimes dans les États africains sortant d’un conflit relèvent, au mieux, d’une réflexion à postériori dans les processus de responsabilité pénale et, au pire, sont utilisées à des fins politiques, le plus souvent en période électorale. On pourrait rassembler les modèles de justice réparatrice lorsqu’ils sont mis en oeuvre aux niveaux international et national afin que les États réfléchissent à leurs propres processus quant à leurs obligations en matière de réparation des victimes. Cette note d’analyse tente d’exposer et d’analyser différentes méthodes de réparation en faveur des victimes de crimes internationaux.


À propos des auteurs

Allan Ngari est chercheur principal à l’Institut d’études de sécurité. Il travaille sur la justice pénale internationale et est avocat auprès de la Haute Cour du Kenya.

Steven Kayuni, consultant en droit chez Ethan & Bill Consultants, publie des articles scientifiques sur la justice pénale internationale depuis plus de 13 ans. Il est avocat auprès de la Haute Cour et de la Cour suprême d’appel du Malawi.


Crédit photo : Roberto Maldeno/Flickr

Partenaires de développement
Cette Note d’analyse a été financé par TrustAfrica. Pour leur soutien, l’ISS exprime sa reconnaissance aux membres suivants du Forum des partenaires de l’ISS : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne et les gouvernements du Canada, du Danemark, des États-Unis, de la Finlande, de l’Irlande, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Suède.
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