L’Union Africaine face aux défis conjoints de sécurité et gouvernance

Cette note d’analyse propose des pistes pour instaurer des liens entre l’AAG et l’AAPS afin d’améliorer les interventions de l’UA dans des cas d’instabilité structurelle et cyclique.

Bien que la mauvaise gouvernance soit une source majeure d’instabilité en Afrique, l’Union africaine (UA) peine à définir une réponse globale lui permettant de s’y attaquer. Les liens entre l’Architecture africaine de paix et de sécurité (AAPS) et l’Architecture africaine de gouvernance (AAG) restent ténus, principalement en raison des différences institutionnelles que sous-tendent les deux approches. Cette note d’analyse propose des pistes pour instaurer des liens entre l’AAG et l’AAPS afin d’améliorer les interventions de l’UA dans des cas d’instabilité structurelle et cyclique.


À propos de l’auteur

Yann Bedzigui a rejoint l’équipe de l’Institut d’études de sécurité (ISS) en 2015 à titre de chercheur dans le cadre du projet « Rapport sur le CPS », basé à Addis Abeba, en Éthiopie. Avant de travailler pour l’ISS, M. Bedzigui a été assistant de recherche pour le bureau de Dakar de l’International Crisis Group et chercheur associé au Centre Thucydide de l’Université Panthéon-Assas. M. Bedzigui est titulaire d’un doctorat en relations internationales de l’université Panthéon-Assas.

Image: GCIS

Partenaires de développement
L’ISS est reconnaissant de l’appui des membres de son Forum pour le partenariat : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne et les gouvernements du Canada, du Danemark, de la Finlande, de l’Irlande, de la Norvege, des Pays-Bas, de la Suede et des États-Unis d’Amérique.
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