Alors que les tensions montent entre deux factions du FPLT, il faut de toute urgence éviter une nouvelle crise dans la région.
Une pause et un réajustement s’avèrent nécessaires vu le rejet du dialogue en cours par les principaux acteurs politiques.
La première phase du dialogue se déroule sans opposition, mais celui-ci risque de ne pas aboutir à un « consensus national ».
Le scrutin confère une légitimité électorale technique au parti au pouvoir, mais ne suffit pas à résoudre les profonds clivages politiques.