Alors que les apports du secteur privé augmentent, 21 pays africains ne contribuent toujours pas au Fonds.
Le projet de convention contre le mercenariat doit établir un comité de surveillance efficace et des modes de rapport clairs.
La collaboration entre la société civile et le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine reste semée d’embûches.
Les sanctions et les suspensions de l'UA et des blocs régionaux ne sont plus aussi efficaces.
La Côte d’Ivoire peut-elle concilier l’expansion du secteur minier avec la protection de ses forêts et de son économie essentiellement agricole ?