Trafic d’armes légères au Sahel : le rôle des villes trifrontalières
Ce rapport examine les principaux facteurs de demande ainsi que les acteurs et les marchés clés qui sont au coeur de la prolifération illicite des ALPC dans les pays du Sahel.
Ce rapport examine les principaux facteurs de demande ainsi que les acteurs et les marchés clés qui sont au cœur de la prolifération illicite des armes légères et de petit calibre (ALPC) dans les pays du Sahel, à savoir le Burkina Faso, le Niger et le Nigéria. L’aggravation de la situation du trafic d’armes légères et de petit calibre, en particulier aux points d’intersection des trois frontières, nécessite une réponse coordonnée pour contrôler efficacement les flux criminels d’armes et de munitions.
À propos de l’auteur
Nelson Alusala est consultant principal en recherche à l’Institut d’études de sécurité (ISS) pour le projet ENACT, qui se concentre sur les liens entre le contrôle des armements, le désarmement et la criminalité transnationale organisée. Auparavant, il a travaillé avec le Groupe d’experts des Nations Unies sur la République démocratique du Congo et le Groupe d’experts des Nations Unies sur le Libéria. Il est titulaire d’un doctorat en sciences politiques de l’Université de Pretoria. Il travaille actuellement en tant qu’expert de l’ONU dans la région des Caraïbes.
Image : COMPRESS.dsl