© GI-TOC

Pour une meilleure performance du secteur aurifère en Afrique de l'Ouest

Cette étude fournit aux décideurs politiques et aux parties prenantes des recommandations claires et exploitables.

Bien que l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (EMAPE) constitue une source importante de moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest, l’informalité la rend vulnérable à l’exploitation par les acteurs criminels et conflictuels. Pour relever au mieux ce défi, il sera essentiel de soutenir la formalisation du secteur de l’EMAPE. Le présent rapport, éclairé par un atelier régional, explore les causes profondes des défis et les options de réponse.


À propos des auteurs

Marcena Hunter est la responsable thématique des industries extractives et des flux illicites à la GI-TOC (Initiative mondiale contre la criminalité transnationale organisée). Bien que son travail couvre un large éventail de domaines matériels et géographiques, elle se concentre actuellement sur la criminalité liée à l’or, à d’autres ressources minières, aux flux financiers illicites et aux réponses de développement au crime organisé.

Dr Gideon Ofosu-Peasah est analyste à la GI-TOC. Son travail se concentre principalement sur les industries extractives en Afrique de l’Ouest et sur le crime organisé au Ghana.

Theodora Williams Anti est la Directrice exécutive de la Fondation pour la sécurité et le développement en Afrique. Elle est une experte en égalité des sexes et se concentre sur la paix et la sécurité des femmes.

Dr Edgar Takyi Akonor est maître de conférences au département d’anthropologie de l’Université de Cape Coast, au Ghana. Il est spécialisé en criminologie/justice pénale, armes légères, paix et sécurité.

Rayane EL Ghastalany est doctorant dans le domaine des mines à l’Université de Nouakchott.

Gabriel Moberg est analyste de recherche à la GI-TOC. Son travail se concentre principalement sur le portefeuille des industries extractives, en mettant un accent particulier sur les sujets liés aux mines.

Partenaires de développement
Cette publication a été réalisée avec le soutien financier de l’Union européenne et du ministère fédéral allemand des Affaires étrangères. Il a été réalisé avec le soutien financier de l'Union européenne et du ministère fédéral allemand des Affaires étrangères dans le cadre du projet OCWAR-T. Son contenu relève de la seule responsabilité des auteurs et ne reflète pas nécessairement les vues de l’Union européenne ou du ministère fédéral allemand des Affaires étrangères. L’ISS tient à remercier les membres du Forum de partenariat de l’Institut, notamment la Fondation Hanns Seidel, l’Open Society Foundations, l’Union européenne, ainsi que les gouvernements du Danemark, de l’Irlande, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Suède.
Contenu lié