La Force multinationale de lutte contre Boko Haram : quel bilan ?

En dépit des contraintes auxquelles elle est confrontée, la FMM monte progressivement en puissance.

La Force multinationale mixte (FMM) établie par les pays riverains du Bassin du Lac Tchad pour lutter contre Boko Haram peine encore à convaincre de son existence et à démontrer son efficacité sur le terrain. En dépit des nombreux défis politique, logistique, technique et financier auxquels elle est confrontée, la FMM monte progressivement en puissance.

À propos des auteurs

William Assanvo est chercheur principal au sein du bureau de l’ISS Dakar. Avant de rejoindre l’ISS, William a travaillé en tant qu’expert paix et sécurité pour le compte du Secrétariat de l’Union du Fleuve Mano (Freetown, Sierra Leone).

Jeannine Ella A Abatan est chercheure boursière au bureau de l’ISS Dakar. Avant de rejoindre l’ISS, Ella a travaillé comme assistante chargée de cours au Département des Sciences Politiques à l’Université de Prétoria en Afrique du Sud et chercheure pour la Fondation Carnegie et le Rapporteur spécial des Nations Unies pour les exécutions extrajudiciaires, sommaires et arbitraires.

Wendyam Aristide Sawadogo est chercheur boursier à ISS Dakar. Avant de rejoindre l’ISS, il a travaillé avec l’UNREC au Togo dans le domaine de la paix et du désarmement ainsi qu’avec le PNUD-Burkina sur la gouvernance électorale comme consultant.

Partenaires de développement
Ce rapport est publié grâce au soutien du gouvernement des Pays-Bas et du Centre de recherche en développement international du Canada (CRDI). L’ISS est également reconnaissant de l’appui des partenaires principaux suivants : la Fondation Hanns Seidel, les gouvernements de l’Australie, du Canada, du Danemark, de la Finlande, du japon, de la Norvège, de la Suède et des États- Unis d’Amérique.
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